A partir du 26 juillet, La France vivra plus que jamais à l’heure des Jeux olympiques. Au programme : de nombreuses compétitions sportives, mais aussi de nouveaux réflexes à adopter pour éviter que les déplacements deviennent un sport de combat.

 

Avant et pendant toute la durée des Jeux olympiques et paralympiques, les déplacements seront plus nombreux qu’à l’accoutumée et les flux de voyageurs plus conséquents.

 

A ce titre, tous les modes de transports : du métro au taxi, en passant par les pistes cyclables, seront donc fortement sollicités.

 

Voici quelques conseils qui pourront sans doute vous aider à organiser vos déplacements et éviter certains pièges et désagréments.

 

Comme vous l’avez dit, pendant la période des JO, les réseaux risquent d’être bondés, voire saturés. C’est pourquoi, il est indispensable d’anticiper chacun de ses déplacements. Par exemple, si vous prenez les transports en commun, pensez à acheter vos tickets avant le 20 juillet. Si aucune augmentation n’est prévue pour les Franciliens qui bénéficient d’un abonnement, pour les autres, le prix du ticket de métro passera de 2,15 € à 4 €.

 

Ensuite, pour vous déplacer, là encore, l’anticipation est indispensable, car les temps de transport, quel que soit le moyen utilisé, seront plus longs.

 

Si cela est possible :

 

• réduisez vos déplacements en transports en commun,
• déplacez-vous sur les plages horaires les moins chargées,
• calculez votre itinéraire pour privilégier des chemins moins fréquentés,
• optez pour d’autres moyens de déplacement comme la marche et le vélo en fonction de la distance à parcourir.

 

N’hésitez pas à consulter la carte interactive mise en place par le ministère chargé des transports, basée sur les informations fournies par Île-de-France Mobilités, et répertoriant les impacts des Jeux de Paris 2024 sur les transports en commun.

 

Si vous optez pour des déplacements en taxis ou en chauffeur privé, soyez très vigilants. Il ne faut jamais monter avec des chauffeurs qui vous abordent "à la sauvette" près des lieux de compétition, car il n’y a aucune garantie de leur existence officielle ni du prix qu’ils pourraient vous faire payer.

 

N’hésitez pas également à demander le prix approximatif de la course.